Beau-Rivage lève le voile sur ses nouveaux «étages célestes»

Après la célébration de son 150e anniversaire en 2015, Beau-Rivage vient d’achever à Genève la rénovation de ses étages supérieurs, désormais qualifiés de «célestes».

Les suites des «étages célestes» portent le nom de l’un de leurs illustres hôtes – ici la suite Charles de Gaulle. (Beau-Rivage)

Inaugurés officiellement il y a quelques jours à la suite d’importants travaux de rénovation, les nouveaux «étages célestes» consistent en un complexe de suites et de chambres de grand luxe, interconnectées et isolées au sommet de l’établissement, leur garantissant discrétion et haute sécurité. Avec à la clé une vue spectaculaire sur le Jet d’eau, la Rade, le mont Blanc ou encore la vielle ville, ainsi que les très originales ouvertures en toiture offrant une perspective sur le ciel apparent. Selon Jacques Mayer et son neveu Alexandre Nickbarte-Mayer, respectivement propriétaire et arrière-petit-fils du fondateur et CEO, le principal défi a consisté à «innover tout en respectant l’âme de l’hôtel».  «La création de ces "suites célestes"  est le fruit d’un long processus de réflexion, initié il y a 25 ans. Des études sur la faisabilité technique de ces nouveaux volumes à l’impact sur la distribution de l’espace, en passant par la préservation et la mise en valeur de l’architecture existante, l’enjeu a été de taille», explique Alexandre Nickbarte-Mayer. 

Un hommage à d’illustres hôtes 

Dans le cadre de cette transformation, le palace genevois a joué la carte d’une élégance contemporaine, tout en adressant des clins d’œil à certaines des personnalités qui ont rendu la maison célèbre. Ainsi, chaque suite porte le nom de l’un de ses illustres hôtes: de Charles de Gaulle à Marlène Dietrich, de Simone Veil à Saint-Exupéry ou encore d’Henry Dunant à Charlie Chaplin, c’est plus d’un siècle de l’histoire de Genève que suggèrent ces suites rendant hommage à l’âge d’or de la grande hôtellerie genevoise. Et s’il est une figure incontournable de l’établissement, c’est bien Eleanor Roosevelt, qui, il y a tout juste 70 ans, rédigeait la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme dans le bâtiment, où son double a fait une apparition surprise le jour de la présentation des étages à la presse.

(HGH)


Davantage d’informations:

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